On y trouve des constructions en matériaux bruts non traités, comme la tôle ondulée, des planches de bois, des déchets industriels. Ce découpage est destiné à permettre à l’administration coloniale de mieux contrôler les populations, surtout en cette période de conflit mondial. A cette époque le village africain est limité au Nord par l’actuelle avenue Felix Tchicaya, cette avenue reliait deux camps militaire, le camp colonel Genin (actuel camp 31 juillet) et le camp Saint Pierre aujourd’hui disparu. Nain (...), Environnement France-Congo – Environnement : L’Ecrivain Congolais Dr Michel Innocent Peya élevé à la dignité d’Ambassadeur des Droits et Devoirs de l’Humanité pour l’Environnement. Dans la cité, pourtant une nouveauté se fait jour : la communauté ouest africaine commence à construire à la verticale, optimisant l’espace. : La liaison entre ville et la cité indigène (dizaine prononciation des autochtones) ne se fait que par un seul point, le pont sur la Tchinouka, au niveau de l’école Jean-Joseph Loukabou (ancien parlement). Le centre-ville se densifie par l’occupation des terrains vides contenus dans le tracé directeur. La construction des habitations du village et du quartier Kilomètre 4 est précaire. Mais, si, bien sûr, c’est le long des routes que se lotissent les premiers terrains, bien vite la toile d’araignée s’étend au foncier environnant. En chantier : « Un amour enfoui dans la haine », un livre-télégramme de S. A. Zanzala à Marine Le Pen, présidente du Front National, en France, Louis Armstrong : Retour aux racines du Jazz il y a soixante ans, en Afrique à Léopoldville (Congo). Le marché central sera installé de la deuxième à la troisième ligne entre l’avenue Monseigneur Derouet et L’avenue Schoelcher. Les congolais jouant sur le fait accompli, finissent par voir les autorités abdiquer. Nain ! Du fait de la pression et de la faiblesse économique des nouveaux arrivants, les espaces inconstructibles, voire même les voiries publiques, ont été progressivement occupés et habités. Ce découpage a été fait pour permettre à l’administration coloniale de mieux contrôler les mouvements des populations, surtout en cette période de conflit mondial. Localisation/ les quartiers. Les propriétaires terriens voient leurs ambitions s’accroître. Les quartiers Mayumba et camp chic Tchitchelle voient leurs populations autochtones les quitter. Une quatrième avenue est créée au quartier du damier de l’évêché. *Suites: 35.000 XAF (CFA). L’urbanisation se poursuit selon les axes des voies principales. L’avenue de France,(actuelle avenue de la Révolution) comme limite Est. NB : Les cartes s’agrandissent lorsqu’on clique dessus. L’achèvement des deux grands chantiers, en 1934 pour le CFCO et en 1942 pour la complétion de la digue intérieure du port, voit l’implantation définitive dans la ville de la plupart des ouvriers débauchés. Cette voie départage le village en deux parties comme une ligne de démarcation ethnique, à l’est vivent les originaires du Kouilou-Niari (quartiers Mayumba et Mvou-Mvou), à l’ouest les autres ethnies arrivant sur la ville. » ? A compter de la fin 1985, du fait de la crise économique qui frappe le pays la ville se tourne sur elle même, et tente de créer son économie. L’avenue Shoelcher, qui rejoindra plus tard la mission des Sœurs de Saint-Joseph et le quartier Culotte. Ils vont devoir se reconvertir dans d’autres métiers de services et de manutention.   L’avenue Emile Gentil, elle aussi en partance pour le Nord jusqu’à l’actuelle avenue de l’indépendance au carrefour de la maison commune de Mvou-Mvou et le premier cimetière pour africain. Pointe-Noire ne doit son implantation qu’a la perspective de la construction du port et du chemin de fer. Soyez le premier à savoir et laissez-nous vous envoyer un courriel lorsque Residence Mumbai publie des nouvelles et des promotions. (1). Il est à noter que le village africain est entouré sur son flanc Ouest par la rivière Tchikobo et les marécages autour du camp Génin (actuel camp 31 juillet) tandis que sur son flanc Est la ville s’arrête à la rivière Tchinouka (avenue de France actuellement avenue de la Révolution) et, son développement ne peut donc se faire que dans la direction Nord vers le village Loandjili. Toutes ces occupations sont de nature illégale et abusive, elles ont cependant lieu dans une indifférence/impuissance/complicité des autorités. se trouve une zone marécageuse, et comme la nature a horreur du vide, en dépit des interdictions de construire frappant cette zone, celle-ci va être occupée, par des populations originaires pour la plus grande part des pays du Niari (Bouenza, Lékoumou et Niari). Les artistes du quartier Mpita Les slameurs-rappeurs Phéno S2S & Apens . Recevez les dernieres infos de Congopage directement dans votre boite email. Entre l’avenue de la Révolution (Ex avenue de France) et le quartier O.C.H. Ils lotissent tout et n’importe quoi avec la complicité des services du cadastre. La distance séparant les avenues secondaires entre elles ne dépasse pas 200 mètres, de façon à permettre le contrôle par les forces de l’ordre positionnées à chaque intersection. le service immobilier pro À pointe-noire has 3,546 members. Le développement spatial de la ville que l’on croyait terminé reprend de plus belle, les limites naturelles que sont les rivières (Tchikobo, Tchinouka, Songolo, Mamiwata) et les forêts (Makaya-Makaya, Mpaka) sont franchies.   L’avenue de Ma Loango. A l’intérieur de ces sept voies, l’aménageur va disposer des voies secondaires, pour donner un découpage urbain en îlots trapézoïdaux. Recherches et textes : Mouelé Kibaya (Architecte DPLG). Si l’on excepte le petit village Ndjindji, autour du port et du chemin de fer (avec la gare centrale). Le développement de la ville ne peut plus se faire que par une densification des quartiers. Loango, à une quinzaine de kilomètres de là, conserve le siège des administrations et gère le commerce intérieur et extérieur. Résidence Mumbai est situé à Pointe-Noire, dans le quartier de Mpita. En 1931, selon Pierre Vennetier, Pointe-Noire, n’est encore qu’un semis de constructions éparses parmi un quadrillage de rues en terre que l’on commence à empierrer. La ville va bien vite attirer une foule de gens intéressés par les emplois induits, commerçants en particulier, surtout les étrangers venant des autres pays d’Afrique (Gabon, Dahomey, Togo et Ghanéens). Notre Site web: http://www.residence-mumbai.com . Votre adresse e-mail ne sera pas utilisée à d'autres fins, et vous pouvez vous désabonner à tout moment. et port) qui composent en majorité, au début la population de la ville indigène. Au début des années 1950, le village sort de ses limites initiales et s’étend jusqu’à l’avenue de l’Indépendance. 35 000 XAF mai 30, 15:58 Tous les quartiers aux alentours du marché sont progressivement occupés par des musulmans, en particulier Ouest-africains. Avec l’achèvement du Port et du chemin de fer en 1934, et l’installation de la société coloniale d’électricité (UNELCO), la ville va voir ses activités décoller. Les activités économiques et l’augmentation de la population blanche poussent à la densification du quartier européen. Résidence Mumbai est situé à Pointe-Noire, dans le quartier de Mpita. L’avenue Moe-Pratt qui aboutissait sur l’actuelle avenue de l’indépendance au rond Point Mawata et se termine par le quartier Foucks. La taille des parcelles dépend de la force humaine ou des moyens financiers des habitants. Cette période est marquée par un boom immobilier en centre ville. Plus tard les voies seront bétonnées par la société Batignolles. Mpita from Mapcarta, the free map. Tandis que la logique ne sera pas respectée à l’intérieur de chaque îlot, en effet les rues seront parallèles aux voies secondaires. Nain ! Les colonisateurs français, soucieux d’éviter les conflits avec les autochtones se réservent les zones de marécages, impropres à l’agriculture et vides de population. ÉQUIPEMENTS DE LA MAISON - Climatiseur - Chauffage d'eau électrique - Groupe électrogène. Le centre-ville de Pointe Noire n’est pas très étendu : ... en plus d’expatriés à la recherche de biens de qualité pour des prix plus accessibles s’installent dans des quartiers moins centraux tels Mpita, Tchimbaba ou encore Songolo. La ville entoure désormais l’aéroport et force les autorités à démolir de nombreuses maisons construites sur l’emprise même de la zone aéroportuaire jusqu’à 8 mètres de la piste. La cité indigène est repoussée vers les villages, en particulier celui de Tié-Tié (première gare du chemin de fer au kilomètre 15) et de Mvou-Mvou avec le quartier Mayumba (quartier Ba Lumbu) à côté.   Les originaires du Niari : quartiers Dibodo et Cocotier du Niari ; Si le paysage urbain, change peu, le développement économique induit l’explosion du quartier du port et une forte consommation d’énergie (eau et électricité). Dès 1923, le problème de l’aménagement de la ville est posé. .. . Les sociétés internationales prospèrent et sont de plus en plus demandeuses de logements pour leurs expatriés et de bureaux pour leurs sièges. On voit apparaître le quartier Planches deuxième quartier dit illégal de la ville, avec son église Saint-Christophe en planches de bois blanc. Le premier quartier africain, loti est le Camp Chic, non loin du grand marché et du commissariat de Police, il est construit par la SIC (Société Immobilière su Congo). .. . Le quartier Mvou-Mvou se développe au nord vers la rivière Songolo. L’abondance d’embauche provoque l’arrivée massive de populations de l’intérieur (que les autochtones appellent ‘bilanda lail’ "suiveurs du rail"), et leurs besoins en logement le développement de la cité. Ce quartier va vite trouver ses limites, car coincé entre la route de Brazzaville et la rivière Tchikobo. Cet aménagement se fait sans intervention de l’administration coloniale, d’où sans doute la rupture dans la taille des ilots. 1960 voit un tournant dans l’évolution de la ville, il faut noter que c’est l’année de l’indépendance, même si l’indépendance n’est pas encore effective, les rapports sociaux ont changé. Il reconnaît le droit coutumier : la terre non fertile appartient à toute la communauté. …   Enfin ceux de la Bouenza : quartiers Mouyondzi et Pont de la Bouenza. La trame urbaine de ces quartiers sera en disposition radiale. Ainsi la COMILOG, (Compagnie Minière de L’Ogoué), ELF-. On peut cependant douter de la qualité de ces immeubles érigés sans calculs, souvent en surélévation d’une construction existante. Ce sont les travailleurs des deux grands chantiers (C.F.C.O. Lors de sa fondation en 1922, la ville n’est pas encore une agglomération mais juste un camp de chantier pour la construction de ces infrastructures. La gestion foncière est régie par les dispositifs du Code Foncier Noir dans les Colonies (1920). Au sud, on voit le développement des quartiers Tchibamba, Mpita et, après la guerre de 1993, suite à l’afflux de réfugiés en provenance du Pool, le début de l’urbanisation du village Ngoyo, le long de la RN4 menant à la frontière cabindaise. Les terrains d’Eucalyptus du Congo (ECO) au delà de l’avenue Thystère Tchicaya à Mont Kamba qui marque la limite de l’agglomération, sont squattés. Pointe-Noire de 1955 à 1960 Pointe-Noire 1958. A partir de 1992 du fait des changements politiques majeurs intervenus à Brazzaville, on assiste au developpement des zones situées le long de la mer du Nord au Sud. (Compagnie des Potasses du Congo) et d’autres se dotent d’ensembles immobiliers dans les Zones d’Aménagement Libre (ZAL). Tant que l’administration fonctionne encore. Nous vous informerons quand tout se passe à Pointe-Noire. On voit s’ériger des logements y compris entre les voies du CFCO. Elles affluent en grand nombre vers le havre de paix que constitue Pointe-Noire. De pseudos propriétaires fonciers poussent leur appât du gain au point de lotir les cours d’école, comme à Tchimbamba. Le quartier du Losange va connaître un deuxième développement. Les constructions y sont démolies par ordre de la municipalité. PRIX : 300.000 FCFA Ceci est un prix fixe Sa population se densifie. Une des plus grandes ressources sur Internet pour trouver des hôtels et des entreprises connexes, dans le monde entier. Appartement Meublé À Louer Quartier Mpita Appartements meublés, Pointe-Noire . C’est ainsi que le quartier dit de la foire se développe, la raffinerie est vite encerclée par des habitations, le village de Siafoumou est avalé par la ville de Pointe-Noire qui acheve sa progression sur Loandjili (ancien village et district devenu l’arrondissement IV de Pointe-Noire), Il en est de même pour les premiers villages se situant sur la route de Diosso. QUARTIER :MPITA SITUATION GÉOGRAPHIQUE: Vers le 2e Rond point Boundji VILLE: Pointe-Noire. Entre 1970 et 1985, avec les découvertes des gisements pétrolier et minier de potasse, la ville connaît un boom économique, attirant une forte immigration de populations africaines et européennes, et une intensification de l’exode rural vers des emplois plus rémunérateurs.   L’avenue Raymond Paillet, qui devrait rejoindre le Nord et la route de Brazzaville au rond point Sympathic ; Aucun schéma d’urbanisme n’existe, pas plus d’adduction en eau et électricité, quand aux réseaux d’égouts, nul n’en a cure. Ce sont les naissances des quartiers Culotte, Makaya-Makaya (qui veut dire en langue locale feuilles-feuilles, cela pour signifier qu’il y a là une forêt très touffue), Mbota, Mbota-Louissi, (respectivement du nom des rivières, petits affluents de la Songolo) et Nkouikou. Congo, C.P.C. Son ambiance feutrée et haut de gamme sauras vous charmer et vous mettre à l'aise. La ville se limite toujours au centre ville actuel qui comporte cependant déjà toutes les caractéristiques d’un espace urbain pouvant fonctionner en zones résidentielles et zones de production, écoles, terrains de sport... bien définies. Environnement France-Congo – Environnement : L’Ecrivain Congolais Dr Michel (...), L’Association des Amis de la RCA (L’ARC) a fêté ses sept ans d’existence, Le Club de Brazzaville à la rescousse de Brazzaville, Polémique : « Singe » et « Nègre » : et, si l’on disait : « Sarkozy Nain ! On assiste à la naissance des quartiers Roy, Mawata, et l’extension du quartier Mvou-Mvou. Le quartier Ndjindji se développe le long des grands axes. En 1936, on pense que la ville a atteint ses limites, et que le développement devra désormais se faire a l’intérieur de celles-ci. Mpita is situated west of Quartier Mouyondzi. Les maisons sont construites sur des parcelles d’environ 250 m². La ville progresse vers l’Est. Ngoyo, entre Mpaka et Côte Matève, devient un nouveau quartier, populaire à l’est de la RN4, et beaucoup plus résidentiel à l’ouest. Le chemin de fer du Kouilou est construit en direction de Loango. Pointe-Noire compte probablement aujourd’hui plus d’un million d’habitants, pour la plupart sans emploi, et elle semble incapable de maîtriser son expansion. Le détenteur des titres fait raser les maisons et gagne son procès. Cet emplacement a été choisi pour créer une dynamique centrifuge à la ville, le marché sera point de contact des populations africaines et européennes séparées par la frontière naturelle que constitue la rivière Tchikobo. Vous voulez que votre entreprise soit Hôtel la plus cotée à Pointe-Noire? L’avenue Monseigneur Derouet Rue Tchibanga, Quartier WARF, Pointe Noire, Avenue de la republique a 100m de l aeroport de Dolisie, Rue Dimbatala (côté pharmacie croix du sud). Les constructions sont de plein pied. Siafoumou croit à toute vitesse vers le nord, profitant de l’accès désormais facilité par la reconstruction de la route nationale 5. Cette sédentarisation entraîne le développement du village africain. Le village africain abandonne définitivement la logique de l’îlot de type haussmannien. La ville a consommé tout d’abord tous ses espaces constructibles intra-muros, dans un rayon de 15 kilomètres (sauf en ce qui concerne le centre ville un peu mieux contrôlé que la cité), puis elle est sortie de ses limites. Il n’y a pas de nouvelles voiries. A Tchimbambouka, des terrains appartenant à un congolais d’origine française sont vendus par des familles vili s’en prétendant légitimement propriétaire. La ville phagocyte des terres jusqu’alors réservées aux cultures maraîchères. Sa population se densifie. Copyright © 2013 Congopage.com Tous droits réservés. Comme toujours dans pareil cas l’occupation des terres se fait anarchiquement. Dès sa fondation, Pointe-Noire a connu un très fort taux de croissance démographique qui conjugué avec les habitudes locales d’habitat privilégiant la construction à l’horizontale, ont eu pour corollaire une consommation boulimique d’espace. Il va se faire lui aussi dans les limites fixées dans le plan directeur de 1924, c’est-à-dire à l’intérieur de sept voies pénétrantes qui sont en partant en arc de cercle depuis la place de Brazza (actuelle place Lumumba), et d’Ouest à l’Est : En 1928 la population est estimée à 3 000 âmes. Mpita is a suburb in Pointe-Noire. Dans la partie Est (village) les quartiers périphériques se développent, en poursuivant la deuxième phase de densification et l’amorce d’une mise en valeur réelle. Pointe-Noire reste essentiellement européenne, c’est ce que l’on appelle la ville, depuis lors ce terme est resté dans le langage courant. Trois fois nain ! La cité poursuit sa croissance exponentielle. Ces populations ont été attirées par les activités portuaires et pétrolières en plein essor. Les terres bordant l’Océan attirant toutes les convoitises. Son ambiance feutrée et haut de gamme sauras vous charmer et vous mettre à l'aise. Cette urbanisation va entraîner la naissance d’un deuxième axe pendulaire de transport avec un goulot d’étranglement au carrefour Davum, du fait de l’ouverture quelques années auparavant, du pont reliant la quartier OCH au quartier des ateliers CFCO et des usines de déroulage de bois. Le découpage est du même type, mais la taille des îlots devient plus grande. [1] contraction du nom des trois départements qui composent le Grand Niari : Niari, Bouenza, Lékoumou. Dans cette période on voit l’apparition de la première occupation dite illégale du sol. Au quartier du Kilomètre 4, situé au sud des ateliers du C.F.C.O., malgré les interdictions des autorités, le quartier connaît un développement fulgurant rendant son urbanisation impossible sans des mesures de déguerpissement coercitives. Le quartier Mvou-Mvou se développe au nord vers la rivière Songolo. Polémique : « Singe » et « Nègre » : et, si l’on disait : « Sarkozy Nain ! Du fait de l’ambiguïté des lois foncières coloniales, le développement de la partie africaine de la ville dépend des intérêts des propriétaires terriens, leurs droits étant reconnus dans le Code Foncier Noir des Colonies. On voit apparaître le quartier Planches deuxième quartier dit illégal de la ville, avec son église Saint-Christophe en planches de bois blanc. La spéculation va bon train. C’est ainsi que l’on assiste à la construction des deux édifices religieux les plus hauts de la cité indigène : la mosquée du marché et celle du quartier Roy sur l’avenue Jean-Felix Tchicaya. Merci de votre viste. L’hôpital est construit, le marché s’agrandit, c’est la formation de la première couronne. (Office Congolais de l’Habitat, organisme d’Etat). De nouveaux bâtiments s’y construisent, quelques routes et avenues y sont être créées. le centre va se densifier, ce sera le début de l’aménagement de la partie située au delà de la rivière Tchinouka, c’est la naissance du quartier O.C.H. Les quartiers de Pointe-Noire . La ville dès lors, et en dépit des efforts de ses maires successifs, se montre incapable de contenir les habitants dans des limites administratives raisonnables. *Résidence: 50.000 XAF (CFA). A l’intérieur de sept voies, l’aménageur va disposer des voies secondaires, pour donner un découpage urbain en îlots à quatre cotés. Mais surtout le périmètre urbain explose. A la fin de 1960, Pointe-Noire a consommé ses meilleurs terrains, il ne reste plus que des terres marécageuses. Les forces conservatrices reprennent de la vigueur. 3-Chambes 1-Salon 1-Cuisine 1-Douches + WC 1-Salle à manger 1- Forage d'eau. Cartographie : Ya Sanza sur croquis de Mouelé Kibaya. Le cimetière de la ville qui devrait se trouver hors du périmètre urbain, est totalement entouré par un nouveau quartier. Désormais la division en petites ruelles non rectilignes prévaut. Nain ! La surface occupée par le village va bientôt égaler celle de la partie européenne.   Les ressortissants de la Lékoumou : quartier Pont de la Lékoumou ; *chambres: 30.000 XAF (CFA); La physionomie de la ville ne change pas, mais elle continue sa forte croissance démographique. La guerre de 97 et surtout celle de 99 provoquent l’exode des populations nibolek [1] particulièrement touchées par la répression des forces cobra et angolaises. Elles comprennent pour essentiel deux chambres à coucher, un petit séjour, une douche, un W-C et une cuisine. On voit naître les petits métiers du secteur dit informel. Dans ce premier plan, seule la partie européenne est structurée en particulier dans les quartiers du Losange et du Damier autour de la mission catholique (actuel évêché). En 1924, Pointe-Noire est dotée de son premier plan directeur de développement. NB: un gardien de nuit y compris. Le découpage de ces quartiers est différent des autres quartiers de la ville, très peu de rues et de grandes avenues, c’est le village total. On peut constater dans les quartiers Matende, par exemple, une absence de places publiques ou de terrains libres dans le village africain. Le poids démographique et la surface occupée passent à l’avantage de la cité indigène. Sitôt détruites, sitôt reconstruites. Les constructions sont encore simples, peu de bâtiments à étage, presque pas. Il consacre la partition en deux de la ville, la zone européenne et la zone indigène. Les parcelles y sont inégales. L’origine et l’ordre d’arrivée des nouveaux arrivants se retrouve dans la toponymie des quartiers qui se créent successivement depuis le Rond point Lumumba (Ex place de Brazza) en allant vers Tié-Tié. Tarifs Résidence Mumbai Hôtel: Melting-pot de toutes les ethnies que compte le pays qui ne se mélangent guère entre elles, ainsi que de vastes communautés étrangères, elle constitue une poudrière à laquelle il ne manque qu’un détonateur pour exploser. Mais la ville elle même n’est en rien exempte de ces abus, les terrains de la GKN, société d’exploitation des potasses, sur la côte Sauvage se voient vendus et construits au profit de hauts dignitaires soucieux de se créer un patrimoine sur un emplacement prestigieux. Elles sont remplacées par des maliens, sénégalais, béninois, et autres ouest africains.