Literature Book Review: Justine by Marquis de Sade. Le Marquis n'est pas une mauvaise comédie : même si beaucoup de blagues tombent à plat, on rigole bien à quelques moments du film. John Huston, Montage : The Italian Job 1969 English subtitle. Anna Massey, l’inoubliable interprète de la fille de la locataire aveugle de Karl Heinz Boehm dans Peeping Tom (Le Voyeur) (Michael Powell, GB 1960) est Renée de Montreuil, sa femme légitime. C’est bien un film fantastique autant qu’érotique, historique autant que d’aventure comme le sont les romans de Sade eux-mêmes. Lire l'avis à propos de Le Marquis, Comédie bâtie sur le canevas du buddy movie : deux personnes tout à faits différentes doivent collaborer pour atteindre un but commun. Incroyable générique pour cette coproduction américano-allemande de l’année 1969. Mais L’ensemble comporte tant de tons, si variés en raison de la personnalité des divers réalisateurs qui se sont succédés sur le plateau, que le film non seulement respecte son contrat initial - être une biographie fantastico-érotique rivalisant en richesse de décor et en scènes accrocheuses avec Marquis de Sade : Justine (Les Infortunes de la vertu de Jess Franco, RFA-It.-GB, 1968) et poursuivre un peu la réflexion "intellectuelle" entamée par Peter Brook en 1967 dans son film Marat-Sade, d’après sa pièce de théâtre et par Luis Bunuel qui avait confié à Piccoli le rôle de Sade dans son génial traité des hérésies gnostiques La Voie lactée (Fr. But it’s also, in a roundabout way, a film about filmmaking. Arthur Brauner (C.C.C.) Un Berry irrésistible accompagné d'un Dubosq ridicule, erreur de casting. On rêve sans cesse pendant le film de la voir nue tant elle est cruellement - sadiquement - désirable et inaccessible mais cela n’arrive hélas pas. Uta Levka : incroyable ! » On oscille ainsi sans cesse entre commentaire subjectif et objectif de l’image comme du son. In pre-revolutionary France, the canine Marquis de Sade sits in jail working on his writing and having conversations with his penis which has a face and is named Colin. Entre le discours objectif du film sur la vie de Sade, la partie purement fantasmatique (le rêve de séduction de la belle-sœur), le théâtre "avant-gardiste" d’implication des années 1960 - on hésite constamment entre le ridicule et le beau, la vérité et le mensonge… Et avec quel dynamisme : le personnage de l’abbé est typique de cet esprit picaresque qui parcourt le film. L’oncle de Sade, abbé de son état et libertin, c’est… John Huston dont la carrière comme acteur mériterait un livre à part entière car il fut, outre un grand cinéaste, un grand acteur. Est-il un oncle complice et sympathique, un rival en sadisme bien plus redoutable que son neveu, un homme tout à fait banal mais constamment déformé par la vision obsédée de son neveu ? Lilli Palmer, Let us use the arrival of "Le Week-End"—a wistfully rendered yet often barbed account of longtime marrieds who find themselves dissatisfied and drifting apart while on an anniversary trip to Paris—to salute a filmmaker who rarely gets the credit he deserves: Roger Michell. Afin de gagner le respect des détenus il se fait passer pour Le Marquis, un génie du casse dont personne ne connaît le visage. Astérix & Obélix : Mission Cléopâtre (2002). Dubosc est pathétique à force d'être mauvais, et de surjouer à mort ! Entre les souvenirs du Marquis, les représentations théâtrales qu’il - ou son oncle - met en scène, ses fantasmes, on ne cesse de passer d’un niveau à l’autre avec le plus grand brio (certains raccords sont étonnants de désinvolture intelligente confinant à la roublardise) mais ce n’est pas forcément délibéré. Lire la critique de Le Marquis, Que l'incroyable incapacité qu'a la comédie française à se renouveler touche une personne comme Faruggia est tout de même plus qu'inquiétante, même si celui-ci n'a jamais été vraiment à son affaire en tant que réalisateur. D’où vient-il ? Critique de Le Marquis par Gubalda. Pays : Comparons d’ailleurs les dates : Le Divin Marquis de Sade se situe, dans sa filmographie de scénariste, entre Devil’s Bride / The Devil Rides Out (Les Vierges de Satan de Terence Fisher, Hammer Films 1967 d’après le roman de Denis Weathley) et Duel de Steven Spielberg, 1971. Des réalisateurs ? They are eventually freed, however, by the revolutionaries. Un des fleurons les plus insensés du cinéma-bis des 70’s, en somme . Cy Endfield, Avec : Rien à redire du côté du jeu d'acteur. Biographie, Drame, Histoire, Thriller, Réalisé par : Le Mans ’66 may look like a film about slick motors and the handsome dudes who drive them. Le Palais de Charlottenburg et la Cathédrale saint Nicolas de Berlin servirent de décors - vraiment somptueux d’ailleurs. Certes, l’image du Divin Marquis est souvent peu conforme à celle que nous offrent les travaux historiques les plus récents et les plus sérieux (cf. 28-32) critiquait sévèrement le film de Endfield, cette biographie « mensongère et ignorante » et signalait qu’un certain Henry Clement avait tiré un livre du film : du scénario de Matheson au film puis à un livre d’après le film : quel parcours que celui de cette biographie romancée ! Anna Massey, All the actors wear animal masks,[1] and their voices are dubbed. Le titre ne fait définitivement pas le marquis. Maintenant, avouons que l'aspect éphémère et on ne peut plus anecdotique de l'entreprise nous paraît particulièrement évident à... Lire la critique de Le Marquis, Partant d'un pitch classique de la comédie à la française, jouant sur le malentendu, thème hérité de Francis Veber, "Le Marquis" ne propose guère de bons moments. Spécialité du scénariste et réalisateur Francis Veber. 3:05. Thomas Gardesse, VRP en système d'alarme, est arrêté pour un fait mineur et envoyé en prison pour 6 mois. Susanne von Almassy, Senta Berger, Meanwhile, the revolutionaries prepare to stage a coup and depose the king, under the lead of Juliette de Titane, an equine noble. Van Vogt mais plus probablement Jean-Pierre Bouyxou) et paru dans Stars System N°1 (Paris 1976, pp. Marquis is a 1989 French-language film, produced in Belgium and France, based on the life and writings of the Marquis de Sade. Lire la suite, Une comédie française bien rythmée. GB 1969 - et fut, selon la légende rapportée par les différentes sources (Stéphane Bourgoin, Roger Corman, éd. Marquis de Sade Justine 1969 West German Italian film Cruel Passion Italian part 3/3. Sonja Ziemann, 1968) - mais réussit, avec le recul, à être ce qu’il nous paraît aujourd’hui : un étrange objet bien digne d’être regardé aussi bien par le cinéphile qui décryptera avec soin la paternité de tel ou tel (par exemple « présence d’Uta Levka = Gordon Hessler ») que par le grand public avide de découvrir un phénix cinématographique ressurgi des cendres. Allez Dominique viens là, ton film quand même il est plutot mauvais.. je... Ce qui est clair, c’est que la structure en "poupées russes" de la narration permettait toutes les coupes comme tous les ajouts possibles et imaginables. Parce que le film, commencé (prévu, en tout cas, comme devant être commencé…) par Michael Reeves - qui venait de terminer The Witchfinder General (Le Grand inquisiteur, 1968) avec Vincent Price et se suicida à ce moment-là - fut poursuivi par Richard Rush, puis Cyril Endfield - qui le signa et dont il constitue l’avant-dernier titre de la filmographie juste après le génial The Sands of Kalahari (Les sables du Kalahari) - puis Gordon Hessler - ce qui explique la présence d’Uta qui venait de (ou allait ?) Richard Angst, Scénario : Tout cela permet de comprendre un peu mieux l’aspect délirant de ce film heurté et chaotique, savoureux et très intéressant et sa situation historique. https://www.lambiek.net/artists/t/topor_roland.htm, "Roland Topor, short biography, prints Champetier", https://en.wikipedia.org/w/index.php?title=Marquis_(film)&oldid=979101948, Films based on works by the Marquis de Sade, Creative Commons Attribution-ShareAlike License, This page was last edited on 18 September 2020, at 19:57. Ces films qui ne devraient jamais, au grand jamais, sortir. Allemagne de l'ouest, Genres : Une sorte de condensé de ce que le cinéma populaire de genre a produit de 1960 à 1969 mais un condensé charpenté par une étrange et constante superposition des locuteurs et des histoires. « Filmo » N° 2 Paris 1983 - § « De Sade »), achevé par Roger Corman que l’on crédite des scènes d’orgie tournées avec ou sans filtre orange !!! UightaJoshua4447. (…) Malgré inexactitudes et interprétations libres, la signification générale du personnage est curieusement respectée et toutes les libertés prises avec la vérité historique (…) restent séduisantes, et en tout cas conformes à l’esprit du film, baroque et délirant comme rarement le cinéma put se le permettre. When Colin is not whining about his need for stimulation and espousing his impulsive philosophies, he is "telling stories" that make up the Marquis' work (some of which is illustrated via clay animation). C'est bien simple tu sais faire un seul et unique rôle , je pense qu'il est plutot temps de changer de registre et de se remettre en question.. Senta Berger, au sommet de sa beauté et de sa carrière internationale, tient celui de sa belle-sœur ! Colin eventually falls in love with Juliette and runs away with her to continue the revolution, leaving the Marquis to continue his writing and to muse about his life in peace. Les trois possibilités sont données, à égal niveau de réalité, et en alternance. Christiane Krüger, American International Pictures (AIP), Bien sûr, les orgies sadiennes, même teintées en orange et filmées parfois au ralenti, ont souvent l’air de plaisanteries de potaches (on accroche une fille à un lustre, on fait voler les plumes d’un oreiller) et lorsqu’elles prétendent refléter la vérité historique, elles la trahissent (Rose Keller n’a pas été torturée à coup de sabre - même si le génie dramatique d’Uta Levka transcende la scène et la fait exister avec une belle "vérité". Je suis désolé Franck tes spectacles m'ont fait marrer (au début) mais les films dans lequel tu apparait c'est l'horreur quand même.. le producteur de RFA (domicilié à Berlin Ouest à l’époque) de la série Edgar Wallace illustrée par Harald Reinl, Alfred Vohrer et des trois derniers films allemands de Fritz Lang, se retrouve "executive producer" pour le compte de l’A.I.P. Le scénario surprend là où on ne l'attendait pas, sur le côté "film de gangster" : le plan élaboré est bien ficelé, de sorte qu'on attend le dénouement avec impatience.
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