Elf financera aussi les campagnes présidentielles de Mitterrand, de 1965 jusqu'à sa victoire en 1981[193]. Si la maladie se résorbe à partir de 1984, elle se réveille à nouveau en 1990. Il reçoit chez lui des hommes politiques comme Henri Emmanuelli, Michel Charasse, Michel Barnier, Édouard Balladur ou l'ancien président de la République Valéry Giscard d'Estaing, à qui il déclare que sa victoire de 1981 face à lui est due à la « trahison » du RPR et de Chirac. À l'issue du second tour des élections législatives de 1978, la gauche, majoritaire au premier tour, est battue par la droite (UDF-RPR), qui obtient 291 sièges contre 200 à la gauche. Il devient membre de la JEC, structure étudiante de l'Action catholique. Les lois Auroux sur le droit du travail transforment profondément les relations de travail en France. Il n’y retournera qu’en 1976 en tant que Premier secrétaire du Parti socialiste et leader de la gauche. 20/03/1986 . La loi-cadre Defferre sur la décentralisation élève la région en une collectivité territoriale de plein exercice. François Mitterrand fit créer son emblème personnel de président de la République en 1981. Alors que Jacques Chirac a toujours publiquement démenti l'existence d'un tel accord[126],[127],[128], François Mitterrand en a révélé l'existence à Valéry Giscard d'Estaing en décembre 1995, estimant que sans cet accord, avec 550 000 voix à la clé, il ne pouvait être élu[129]. Il n'y a d'opposition qu'inconditionnelle dès lors qu'il s'agit de substituer un système de gouvernement à un autre. Des chefs d'État et des personnalités politiques se rendent très vite sur les lieux. François Mitterrand a l'idée de mettre en place la cellule antiterroriste de l'Élysée dont le fonctionnement sera dévoilé par l'affaire des écoutes de l'Élysée. Deux lois, datées du 31 décembre 1982 et du 2 mars 1983 portent le nom du ministre de l’Intérieur de l’époque, Gaston Defferre. Plusieurs membres du réseau Mitterrand-Pinot sont, en pratique, membres de l'ORA. François Mitterrand est désigné candidat du Parti socialiste le 8 avril, puis devient le candidat unique de la gauche. La question étant considérée à l’époque comme une affaire interne, c’est à lui que revenait le rôle de coordonner la riposte tant sécuritaire que médiatique du gouvernement. Il est cinéphile, citant parmi ses films fétiches Mort à Venise, Vivement dimanche !, Reds, Les Ailes du désir, Ragtime, Molière et Un petit carrousel de fête. Selon Philippe Dechartre, la rencontre du 28 mai 1943, fut organisée car : « il y avait trois mouvements [de Résistance :] […] le mouvement gaulliste, le mouvement communiste et un mouvement né des Centres d’entraide […] donc on m’a confié [à Philippe Dechartre] la mission de préparer ce qu’on appellerait ensuite la fusion [des trois mouvements]. Après une première année de droit, il s'inscrit parallèlement à l'École libre des sciences politiques, de laquelle il sort diplômé en juin 1937. »[41] Pour lui comme d'autres résistants qui travaillent pour Vichy, comme Bernard de Chalvron, Raymond Marcellin ou encore Maurice Couve de Murville, accepter cette distinction constitue une couverture idéale[42],[n 3]. En mars 1943, Mitterrand rencontre Henri Frenay et le convainc de travailler avec lui. Dans les années qui suivent, il détient plusieurs portefeuilles ministériels, dont ceux de l'Information, de la France d'outre-mer, et le ministère délégué au Conseil de l'Europe. Mais le maintien de cet équilibre implique à mes yeux que des régions entières de l'Europe ne soient pas dépourvues de parade face à des armes nucléaires dirigées contre elles. (12 novembre 1954, même séance) "Mesdames, messieurs, je pense que l'Assemblée nationale, à la fin de ce débat, voudrait connaître le plus exactement possible le déroulement des faits dont nous parlons. Il souhaite faire avancer l'Europe de la défense pour que l'OTAN, dirigée implicitement par les États-Unis, ne soit plus le protecteur de l'Europe[182]. Ministre de l'Intérieur. Ministre de l'intérieur du gouvernement Mendès France, François Mitterrand se trouve au coeur de la tourmente qui éclate en Algérie le 1er novembre 1954. Pour obtenir cette décoration, il a dû en faire la demande en remplissant un formulaire indiquant : « Je fais don de ma personne au maréchal Pétain, comme il a fait don de la sienne à la France. En 1988, il est réélu président de la République face à Jacques Chirac. Même Gaston Defferre, qui fut chef de réseau, n'est pas Compagnon de la Libération, et combien d'autres, tout comme François Mitterrand, l'auraient mérité cent fois et pourtant ne l'ont jamais eu. Le 24 août 1987, le président Mitterrand répond à une lettre d’un Montluçonnais et lui fait une petite confidence. Aux élections cantonales 1976 et aux élections municipales 1977, le PS devance nettement le PCF. D'autre part, comme garde des Sceaux du gouvernement Guy Mollet (de février 1956 à juin 1957), en rédigeant et faisant adopter la loi de mars 1956 qui donnait tous pouvoirs aux militaires en matière de justice sur le sol algérien, François Mitterrand a créé les conditions légales de la torture en Algérie[95], dans le temps où Bourgès-Maunoury, son collègue au ministère de la Défense nationale, ferme partisan d'une solution militaire, faisait instituer[96] les techniques contre-insurrectionnelles inspirées par Lacheroy et Hogard qui permirent au gal. Le 31 décembre, il passe le réveillon en famille dans sa propriété à Latche, dans les Landes. François Mitterrand participe aux travaux du gouvernement, qui accorde l'indépendance à la Tunisie et au Maroc, l'autonomie à l'Afrique noire. François Mitterrand occupe alors, pendant quelques semaines, un poste de ministre d’état dans l’éphémère gouvernement d’Edgar Faure. Aux élections législatives de 1973, le Parti socialiste obtient presque autant de voix que le Parti communiste au premier tour et davantage au second[111], mettant fin à une supériorité qui remontait à 1946. Pierre Joxe : Ministre de l'intérieur et de la décentralisation. Le nom de François Mitterrand a été donné à de nombreux établissements publics (bibliothèques et médiathèques, centres culturels, écoles, amphithéâtres, auditoriums, centre hospitalier), voies de circulation (quais, rues, avenues, « Florentin » ou « le Prince ». Jacques Chirac : Ministre de l'Intérieur en 1974 est élu Président de la République en 1995, réélu en 2002 à 2007. Sur le plan économique, le septennat est marqué dans un premier temps par une vague de nationalisations (loi du 13 février 1982) et par une politique de maîtrise de l'inflation, infléchie vers l'austérité à partir du « tournant de la rigueur », vu comme un passage à une « culture de gouvernement » par les partisans de la deuxième gauche. Avant lui, Franz-Olivier Giesbert, dans son livre François Mitterrand ou la tentation de l'histoire (1977) avait décrit, entre autres, le parcours de Mitterrand à l'époque de Vichy. Il apparut, après la chute du franc, la nécessité de trois dévaluations : octobre 1981, juin 1982 et mars 1983[131]. Pierre Joxe : Ministre de l'intérieur et de la décentralisation. souhaitée]. Élargissement des possibilités pour entamer une procédure de révision d'une condamnation judiciaire. Ainsi, dans l'ouvrage intitulé Mitterrand l'Africain ?, l'essayiste congolais Gaspard-Hubert Lonsi Koko reste catégorique : « Si l’on admet l’hypothèse selon laquelle la continuité dans les relations franco-africaines tire son origine dans la vision mitterrandienne, alors on ne doit pas forcément être surpris de la fidélité de François Mitterrand à ses principes et convictions : à savoir aucune possibilité de relâchement des relations entre la France et l’Afrique – celles-ci devant maintenir les schémas du passé »[194]. Ses septennats sont également marqués par un grand nombre d'affaires : Rainbow Warrior, sang contaminé, Irlandais de Vincennes, écoutes de l'Élysée, Urba, Péchiney, ELF, Tapie, révélation de son amitié avec René Bousquet, suicides suspects de son ex-Premier ministre Pierre Bérégovoy et de son conseiller à l’Élysée François de Grossouvre, celui-ci dans les locaux du palais, etc. Fort de ce résultat (peu de gens pensaient initialement que de Gaulle pouvait être mis en ballottage), il prend la tête de la Fédération de la gauche démocrate et socialiste (FGDS), qui regroupe la gauche non communiste (essentiellement la SFIO, le Parti radical, la CIR et divers clubs). Fermeture ou reconversion des anciennes mines de charbon, accélération du processus commencé dans les, Abandon du projet de loi Savary sur l'enseignement à la suite des manifestations pour l', Présidence semestrielle par la France de la, Septembre 1984 : accord franco-libyen sur, Libéralisation de l'audiovisuel, création des premières chaînes de télévision privées (dont. Entre 1983 et 1986, François Mitterrand fait écouter illégalement par la cellule antiterroriste de l'Élysée plusieurs dizaines de personnalités, notamment certaines bien informées sur sa vie privée[188]. », « l'évacuation totale et concomitante du Tchad », « peuple corse, composante du peuple français », « Toutes les explications du monde ne justifieront pas qu'on ait pu livrer aux chiens l'honneur d'un homme, et finalement sa vie », « a vu un lundi, à sa demande expresse, son calvaire abrégé », « une injection lui fut administrée par voie intraveineuse, « Dans la chambre nue, un gisant pour l'histoire », « La France ne le sait pas, mais nous sommes en guerre avec l’Amérique. Le 1er juin 1958, il refuse de voter la confiance à Charles de Gaulle, expliquant ainsi son vote : « Lorsque, le 10 septembre 1944, le général de Gaulle s'est présenté devant l'Assemblée consultative provisoire issue des combats de l'extérieur ou de la Résistance, il avait près de lui deux compagnons qui s'appelaient l'honneur et la patrie. Plusieurs personnalités politiques, dont Édith Cresson, confirment par la suite cet accord secret[122],[123],[129]. Il y écrit notamment un article regrettant que le Quartier latin se soit laissé envahir par le « dehors ». la contribution de Jean-Pierre Peyroulou dans Mohamed Harbi et Benjamin Stora, L'historien Jean-Pierre Peyroulou, dans sa contribution à l'ouvrage collectif sur. Il cultive par la suite des relations d'amitiés ou de famille avec des membres de la Cagoule, mais ces liens ne traduisent pas une connivence idéologique selon Henry Rousso et Pierre Péan[9]. Le septennat s'achève en 1988 sous la première cohabitation de la Ve République. Les archives, notamment les documents émanant de conseillers de l’Élysée ou de comptes rendus de réunion du gouvernement de l’époque, sont progressivement rendues accessibles aux chercheurs[200]. en œuvre la politique du gouvernement en matière de sécurité intérieure, de libertés publiques, de sécurité routière, d'administration territoriale de l'État, d'immigration et d'asile. Jacques Chirac a été sept fois député de Corrèze, trois fois maire de Paris, deux fois Premier ministre, et a même connu la cohabitation. Il cofonde le Rassemblement national des prisonniers de guerre avec Maurice Pinot financé par l'ORA. Après un entretien privé, Jacques Chirac est officiellement investi et François Mitterrand lui transmet ses pouvoirs, au cours d'une cérémonie officielle au palais de l'Élysée. En 1950, René Pleven le nomme ministre de l'Outre-Mer. ». », Article 331 alinéa 2 du Code pénal aboli par la loi, « [...] si les Libyens avaient dans une certaine mesure quitté le Tchad par le nord, ils y revenaient par l'est ! Retour des, Élections européennes : la liste socialiste menée par, Révélation au grand public de l'existence de. De Gaulle a en effet annoncé qu'il organiserait un référendum, et qu'il démissionnerait si le « non » l'emportait (une idée à laquelle le général a finalement renoncé). Jacques Chirac : Ministre de l'Intérieur en 1974 est élu Président de … Les élections qui suivent, les 14 et 21 juin 1981, lui donnent la majorité absolue au Parlement. Le ministre de l'industrie et de la recherche Laurent Fabius est nommé premier ministre par François Mitterrand. En fait, dès 1980, un accord secret avait été trouvé, au domicile d'Édith Cresson, entre François Mitterrand et Jacques Chirac, ce dernier promettant de faire en sorte que son électorat se porte au second tour sur le candidat du PS, en espérant profiter du désenchantement de l'alternance[122],[123],[124],[125]. Lorsqu'il avait été proposé pour la francisque, nous avions été parfaitement tenus au courant ; nous lui avions conseillé d'accepter cette “distinction” pour ne pas se dévoiler. En 1933, un discours lui vaut de remporter le championnat de l'éloquence de son école ; il échoue au championnat régional[3]. Nommé ministre de l'Intérieur en 1954 jusqu'en 1955. Le faux attentat de l'Observatoire menace pour un temps son ascension politique. Le lendemain, il dissout l'Assemblée nationale. Le même jour, la droite emporte, largement cette fois, les élections régionales en emportant la majorité dans 20 régions sur 22: le Nord et le Limousin. En novembre 1946, François Mitterrand se présente aux élections législatives dans la Nièvre sous l'étiquette d'un petit parti de droite alors que la France d'après guerre est plutôt à gauche. La gauche, représentée par Gaston Defferre pour les socialistes, Jacques Duclos pour les communistes, et Michel Rocard pour le PSU, est éliminée du second tour de l'élection présidentielle, qui voit la victoire de Georges Pompidou face au centriste Alain Poher. Jacques Chirac obtient 18,00 % des suffrages et Georges Marchais 15,35 %. Cependant, au risque de s'exposer à l'accusation d'avoir couvert, voire encouragé des pratiques renouvelées de celles de la Gestapo et relevant pour le moins du crime de guerre, il reste au gouvernement, car il veut accéder à la présidence du Conseil, où ses pouvoirs seraient plus importants[94]. Il s'agit du premier scandale politico-médiatique de l'ère Mitterrand : à la suite de l'attentat de la rue des Rosiers le 9 août 1982, le président de la République installe un conseiller technique et une cellule antiterroriste à l’Élysée et en confie la direction au commandant du GIGN, Christian Prouteau. Dans un tout autre domaine, il fait adopter le statut de l'Agence France-Presse (AFP). Mis en cause pour avoir accepté un prêt non remboursé de Roger-Patrice Pelat, ami intime et controversé du Président, Pierre Bérégovoy, se sentant abandonné et responsable de la défaite de la gauche aux élections législatives de 1993, se suicide le 1er mai 1993[202]. » Philippe Dechartre a aussi confirmé l'importance du RNPG comme réseau de renseignement[45]. Réglementation des écoutes téléphoniques : interdiction des écoutes administratives, contrôle des écoutes judiciaires. J'ai gagné un gouvernement mais je n’ai pas le pouvoir »[185]. Est créée la Haute Autorité pour la communication audiovisuelle (ancêtre de l'actuel CSA). Sa mère, Yvonne Lorrain, issue d'une famille de tradition républicaine, était la fille de Jules Lorrain, producteur vinaigrier, négociant en vins et eaux de vie et conseiller municipal de Jarnac (et petit-neveu par alliance du ministre Léon Faucher). De nombreuses réformes sociales sont alors adoptées. Le discours du 30 mai de De Gaulle réplique de façon sèche. En 1992, l'hospitalisation en France de Georges Habache provoque de vives réactions dans le monde politique français, tandis que l'opposition nationale et Israël protestent contre l'accueil en France d'un « chef terroriste aussi cruel »[187]. Loi Roudy sur l'égalité salariale entre hommes et femmes dans les entreprises. Du 19 au 23 octobre 1954, il se rend en Algérie, où il rencontre une nette hostilité de la part des partisans de l'Algérie française[83]. François Mitterrand devient en 1947 l'un des plus jeunes ministres de France[68] avec le portefeuille des Anciens combattants dans le gouvernement du socialiste Paul Ramadier. Mitterrand est un partisan de l'"intégration" à tout prix. L'hommage de la classe politique est unanime, y compris chez ses détracteurs, à l'exception notable d'Arlette Laguiller[160],[161],[162]. Cf. Le titulaire actuel est Gérald Darmanin. Ministre de l'intérieur, de l'outre-mer, des collectivités territoriales et de l'immigration de février 2011 à mai 2012 Oui, une guerre permanente, une guerre vitale, une guerre économique, une guerre sans mort apparemment. Vers minuit trente cette nuit là, la Peugeot 403 du sénateur de la Nièvre, ancien ministre de l'Intérieur de Pierre Mendès France, est criblée de sept balles de pistolet mitrailleur.François Mitterrand échappe aux balles en prenant la fuite à travers le Jardin de l'Observatoire.. Les soupçons des enquêteurs s'orientent d'abord vers les partisans de l'Algérie française. Aux élections législatives de mars 1967, le scrutin uninominal à deux tours et la nouvelle disposition qui relève le seuil et élimine du second tour tous les candidats n'ayant pas obtenu au premier tour au moins 10 % des inscrits, favorisent la majorité sortante face à une opposition hétéroclite (PC, PS et centristes de Jacques Duhamel) et désunie. François Mitterrand : Ministre de l'Intérieur entre 1954 et 1955 est élu président de la République de 1981 à 1995. Joseph Franceschi : Secrétaire d'État auprès du ministre de la solidarité nationale, chargé des personnes âgées (jusqu'au 17 août 1982), puis Secrétaire d'État auprès du ministre d'État, ministre de l'intérieur et de la décentralisation, chargé de la sécurité publique (à partir du 17 août 1982) En novembre 1954, lorsque se déclencha la guerre d’Algérie, Mitterrand était ministre de l’Intérieur de la France.La question étant considérée à l’époque comme une affaire interne, c’est à lui que revenait le rôle de coordonner la riposte tant sécuritaire que médiatique du gouvernement. Les mesures sanitaires interdisant de l'évacuer, il organise l'évasion de cet ancien membre de son réseau. La société est aussi marquée par ces deux septennats avec notamment l’abolition de la peine de mort, grâce à l'influence de Robert Badinter, alors ministre de la Justice. Ce cancer est gardé secret jusqu'à son opération chirurgicale en 1992, et la date réelle à laquelle il a appris l'existence de son cancer est révélée une dizaine de jours après sa mort en 1996 dans un livre de son ancien médecin, Claude Gubler, qui indique que le chef de l’État lui ordonnait de falsifier ses bulletins de santé[190]. », « Un président jeune pour une France moderne », « il convient dès maintenant de constater la vacance du pouvoir et d'organiser la succession. Volks krant, Visite d'État du Pays-Bas en France (Mitterrand), 1991, Notices dans des dictionnaires ou encyclopédies généralistes, Président de la Fédération de la gauche démocrate et socialiste, Ministre des Anciens combattants et des Victimes de guerre, Union démocratique et socialiste de la Résistance, ministre des Anciens combattants et des Victimes de guerre, Convention des institutions républicaines, Compagnie du Chemin de fer de Paris à Orléans, François Mitterrand pendant la Seconde Guerre mondiale, Légion française des combattants et des volontaires de la révolution nationale, Rassemblement national des prisonniers de guerre, Bureau central de renseignements et d'action, Mouvement national des prisonniers de guerre et déportés, élections de la seconde Assemblée constituante, Fédération de la gauche démocrate et socialiste, Première présidence de François Mitterrand, loi de nationalisation du 13 février 1982, célèbre poignée de main entre le président Mitterrand et le chancelier Helmut Kohl, Convention européenne des droits de l'homme, Manifestations étudiantes contre le « projet Devaquet » de réforme de l'Université, Seconde présidence de François Mitterrand, Banque européenne pour la reconstruction et le développement, assassinat de l'archiduc François-Ferdinand, reconnaissance de la responsabilité de la France dans la déportation vers l'Allemagne de Juifs français sous l'Occupation, discrimination légale contre les homosexuels, Ministre d'État délégué au Conseil de l'Europe, directeur général de la sécurité extérieure, élections cantonales ratées pour la gauche, Rôle de la France dans le génocide des Tutsi au Rwanda, Mission des Nations unies pour l'assistance au Rwanda, Médaille de la Résistance française, avec rosette, Grand-croix de l'ordre national du Mérite, ordre du Mérite de la République italienne, ordre du Mérite de la république de Pologne, Célébration en mémoire de François Mitterrand, à l'église de Jarnac, le 28 septembre 2013, « Il prétend être le fils caché de François Mitterrand », Pétain - François Mitterrand - Photo historique 1943, « « J'y étais, j'y croyais » : les origines de l'engagement européen de François Mitterrand », http://www.ville-chateau-chinon.fr/historique-francois-mitterrand, « En 1981, j'ai voté Mitterrand sur ordre du RPR », « L'indexation des salaires : la rupture de 1983 », gouvernement provisoire de la République française, Tchad : histoire secrète d'une négociation, « Le Guichet du Savoir de la bibliothèque municipale de Lyon », « Mitterrand Vetoes 4 Choices by Chirac for New French Cabinet », « Françafrique : visite du pré carré africain de la France », « Guerre d'Algérie, le dernier tabou de Mitterrand », « Un docu révèle le rôle trouble de Mitterrand dans la guerre d'Algérie », Le Bureau de poste de la rue Dupin et autres entretiens, François Mitterrand : portrait d'un artiste, Une jeunesse française : François Mitterrand, 1934-1947, François Mitterrand : un dessein, un destin, Le pouvoir ne se partage pas : conversations avec François Mitterrand, Les premiers jours de Mitterrand : l'état de grâce, Les Derniers Jours de François Mitterrand, Le dernier Mitterrand ; 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